2018 La chasse du rêveur -> Solo de Contes
Contes Amazoniens
Présentation
Protagoniste
-> La forêt amazonienne : lianes, champignons, paniers, arbres, agoutis, boas, jaguar.
-> Des chasseurs, une mère, un rêveur candide qui n’en fait qu’à son cœur
-> La parole : folle, sage, écervelée, désordonnée, déchainée, échangée, donnée, trahie, envolée.
Une geste
Naimbo rêve et se donne les moyens d’un désir fou : toucher le ciel.
Mais le vent le projette du haut de la tour qu’il a construite et l’envoie au coeur de la forêt amazonienne.
Il est perdu. Qu’à cela ne tienne. Ce candide fait amitié avec chacun, champignons, arbres, et animaux et demande son chemin à tous. Ils s'entraident, à la mesure de ce qu’ils sont. Le jaguar lui offre même sa baguette magique en échange d’un service rendu.
Il arrive enfin dans son village. Il est accueilli comme le grand chasseur qu’il n’est pas.
Une parole de trop, et lui qui cherchait à atteindre l'infini du ciel, découvre l'infini des mots.
Des gestes
Le spectacle trouve sa dynamique dans une porosité entre récit et dessin.
Le défi consiste à passer d’un territoire langagier à un territoire graphique sans faire perdre de sa fraicheur au récit ou en bégayer le sens, mais en lui donnant d’autres dimensions : celle du corps, de l’espace, et du temps.
«Le rêve n’aime-t-il pas se percher haut ?» (R. Seguin)
Protagoniste
-> La forêt amazonienne : lianes, champignons, paniers, arbres, agoutis, boas, jaguar.
-> Des chasseurs, une mère, un rêveur candide qui n’en fait qu’à son cœur
-> La parole : folle, sage, écervelée, désordonnée, déchainée, échangée, donnée, trahie, envolée.
Une geste
Naimbo rêve et se donne les moyens d’un désir fou : toucher le ciel.
Mais le vent le projette du haut de la tour qu’il a construite et l’envoie au coeur de la forêt amazonienne.
Il est perdu. Qu’à cela ne tienne. Ce candide fait amitié avec chacun, champignons, arbres, et animaux et demande son chemin à tous. Ils s'entraident, à la mesure de ce qu’ils sont. Le jaguar lui offre même sa baguette magique en échange d’un service rendu.
Il arrive enfin dans son village. Il est accueilli comme le grand chasseur qu’il n’est pas.
Une parole de trop, et lui qui cherchait à atteindre l'infini du ciel, découvre l'infini des mots.
Des gestes
Le spectacle trouve sa dynamique dans une porosité entre récit et dessin.
Le défi consiste à passer d’un territoire langagier à un territoire graphique sans faire perdre de sa fraicheur au récit ou en bégayer le sens, mais en lui donnant d’autres dimensions : celle du corps, de l’espace, et du temps.
Contenu & Forme
Le corps : Des images peintes à l’eau sur des écrans gris prennent chair, allure d’encre de chine. La conteuse dessine anticipe ou surligne, éclaire ou interprète certaines étapes du récit dans une relation amusée avec le spectateur.
L’espace : Au fur et à mesure du déroulé de l’histoire, la conteuse esquisse symboles, paysages, ou animaux sur les 3 grands chevalets de tissu gris qui font office de fond de scène. La taille des dessins se renouvelle, et l’espace scénique change d’échelle.
Le temps : Le dessin s’affirme, dégouline et s’efface lentement dans le temps du récit. La parole est instant, elle s’envole; le dessin est durée, il s’attarde et finit par disparaître.
Informations
Contes et Textes: Néfissa Bénouniche
Mise en jeu : Mireille Antoine
Durée : 1 heure
Public : Dès 10 ans
Conditions techniques : Espace scénique d’au minimum 3,50m par 3m pour contenir les trois écrans. Si la salle est plane, une estrade de cette dimension.
Eclairage : min. plein feux
Le corps : Des images peintes à l’eau sur des écrans gris prennent chair, allure d’encre de chine. La conteuse dessine anticipe ou surligne, éclaire ou interprète certaines étapes du récit dans une relation amusée avec le spectateur.
L’espace : Au fur et à mesure du déroulé de l’histoire, la conteuse esquisse symboles, paysages, ou animaux sur les 3 grands chevalets de tissu gris qui font office de fond de scène. La taille des dessins se renouvelle, et l’espace scénique change d’échelle.
Le temps : Le dessin s’affirme, dégouline et s’efface lentement dans le temps du récit. La parole est instant, elle s’envole; le dessin est durée, il s’attarde et finit par disparaître.
Informations
Contes et Textes: Néfissa Bénouniche
Mise en jeu : Mireille Antoine
Durée : 1 heure
Public : Dès 10 ans
Conditions techniques : Espace scénique d’au minimum 3,50m par 3m pour contenir les trois écrans. Si la salle est plane, une estrade de cette dimension.
Eclairage : min. plein feux
Extrait Vidéo